Chipipata-bivouac après Tambopampa 12 km
+ 710 m
– 60 m
Je retrouve le Qhapaq Ñan parfois bien empierré.
Puis je marche sur une route. Un camion s'arrête. Je monte. Je lui demande de me laisser à Tambopampa où je pense trouver un resto.
Il me laisse devant.
Ambiance sympa. Tout le monde (3 personnes) s'intéresse à moi.
Qu'elle est bonne cette truite !
Une flopée d'enfants entre. Paluchades.
2 jouent aux échecs.
"Regina colorem...". Et bientôt l'un m'invite. Ça ne se refuse pas. El camino attendra...
Et surprise ! Qui est là ? Jean Piaget de nuevo !
Et puis encore un col à 4400 m, banal.
Et un nouveau plaisir s'annonce dans la Pampa qui s'étend : le franchissement de barbelés. Pendant plusieurs jours.
Le soir, tipi monté, un éleveur s'approche, thermos, pain et café en mains.
Incroyable, photos...
D'autres viendront me parler, moi dans mon duvet, eux à l'extérieur.
Hélas, le matin, point de breuvage.
🦙
Hasta luego !
Salut Alain. Content de te retrouver en aussi bonne forme. Etape sympa semble t-il. Mais dis moi, j'ai l'impression que le contact facile avec l'autochtone semble le plus interessant dans ce voyage, car les paysages paraissent assez monotones si ce n'est quelques vestiges incas par ci par là? Je t'avouerai que les vieilles pierres (Grèce, Egypte, Italie) ne m'ont jamais vraiment ému, contrairement à Françoise. C'est sans doute mon côté fruste, ou le fait que ma curiosité s'oriente plutôt vers les gens, et leur contact. Pour cela j'apprécie tes commentaires sur l'accueil sans limite de ces péruviens hospitaliers, (eux aussi), leur approche facile. Rien ne vaut un sourire de bienvenue, une poignée de main encourageante, un repas partagé, sans connaître la langue, l'échange est d'autant plus fort. Souvent, je me sers de l'appareil photo comme vecteur dans les rencontres et ça marche bien. Il n'y a guère que dans nos contrées paranoïdes que les gens sont méfiants et craignent d'emblée "l'autre" (Les résultats des élections européennes le prouve) alors qu'on a tant a gagner a aller vers ceux qui sont différents !!! Du coup beaucoup ont perdu la notion d'accueil, et se recrocquevillent sur leur petites certitudes. Maintenant , peut-être que c'est lié a la durée de l'accueil, le voyageur n'étant que de passage ... Voilà, c'était la réflexion du jour !!! ... En attendant de développer, je te souhaite encore de belles rencontres ... Au fait, toi qui parle aux oreilles des lamas, quelles en sont les différences ???
RépondreSupprimerEffectivement on voir une certaine monotonie dans les paysages, versants toujours verts, moutons, hameaux,.. surtout si on compare sans chercher loin, à la France. Et pourtant chaque jour est bien différent. Les surprises les difficultés, les rencontres sont nouvelles. Moi, je regrette de ne pas connaître mieux la langue pour échanger plus. Et même, j'aimerais échanger en français ici. Mais...
SupprimerLes oreilles des lamas sont nettement plus grandes que celles des alpagas. La tête est différente. Leur taille plus grande également. Et il y a beaucoup plus de spécimens bruns.
Excuse moi de ne pas développer plus les sujets, le temps et le confort manquent.
Question:
RépondreSupprimerJe ne sais pas si tous tes suiveurs rencontrent les mêmes difficultés que moi pour suivre ta trace sur Google Earth ? En tout cas moi j'ai du mal !!! Certains noms de lieux que tu mentionnes n'existent pas ou se situent dans d'autres pays. Ne serait ce pas plus facile de nous communiquer les références des relevés GPS que tu récupères sur ta balise ? (En y ajoutant la date du relevé) Mais bon, c'est peut être compliqué sur place !!! Je suppose aussi que tu prends des notes écrites que tu ne manqueras pas de nous commenter a ton retour .... @+ ...
(\__/)
(_'.'_)
(")_(") Petit alpaga !!!
Comme dit dans le 1er article on peut suivre mon itinéraire sur le site travel.map, lien parcours dans l'article mentionné.
SupprimerJe viens de vérifier, on trouve tous les villages , lieux que je cite dans Earth. Mais attention l'orthographe peut varier. Ainsi Ayash devient Hayach, Tambopampa devient Tambopata. Il ne faut pas faire la recherche sur le nom, mais suivre le parcours simplement de 20 km en 20 km à peu près. Et attention au grossissement choisi.
Enfin, pour t'aider (vous) je donne la trace GPS de mon initiateur (trouvable également dans le 1er article indirectement, lien Simon Dubuis ).
Impossible de coller le lien du fichier .kmz. Trouvable facilement sur le site de Simon
Je ne m'amuse pas à relever (10 chiffres) les coordonnées de mes étapes. Les journées sont courtes. Le blog et l'itinéraire prenant entre autres , beaucoup de temps.
Pas de notes écrites.
PS. Tous les lieux cités sont trouvables sur les cartes OSM Open Street Map.
SupprimerOn suit toujours tes pérégrinations avec grand intérêt, sujet de conversation de bien des rencontres.Nous on va faire modestement le tro menez are à Scrignac en pensant à toi si on a un peu mal aux jambes.Promis on ne se plaindra pas...
RépondreSupprimerJusqu'à présent les jambes tiennent bon. Ce ne sont pas elles le point le plus faible.
SupprimerSi vous voyez Ducos, dites lui que son silence m'étonne, qu'il peut me joindre par WA.
Bonne marche. Quel dénivelé ?
olaf hache ! tu me donnes des envies de trip (et pas à la mode de ...) Gg
RépondreSupprimerPrends la mer et rejoins-moi sur la côte !
SupprimerQuelle aventure ! Puisque l'heure de la retraite a sonne en ton absence faute de don de dédoublement tu ne pouvais être a St Divy et au Pérou. Merci pour ton mot qui m'a permis de trouver ton blog. Je suis admirative de tes prouesses et des photos. Quel beau partage. Bon voyage, belles rencontres pas trop de chien ni de pont vertigineux! MJ
RépondreSupprimerBonjour et merci pour tout.
RépondreSupprimerJe t'ai envoyé un courriel à ton adresse pro, mais bien sûr, il m'est revenu
La retraite se passe bien ?
Hasta luego