Ollantaytampo-Maras 25 km
+ 785 m
– 260 m
Début tranquille par un chemin Inca (le Qhapaq Ñan retrouvé ? ), le long de l'Urubamba.
Hôtel restaurant et maisons à flanc de montagne, carrément au-dessus du vide ! 2 heures de marche pour y accéder par un sentier en zigzag ! Ça vous tente ?
Puis un cagnard du diable me tombe dessus et le zef qui hier soufflait comme jamais, s'est tu. Le sac pèse 1 tonne (je paie doublement mes achats précoces et craintifs), les intestins sont déréglés et l'épaule droite douloureuse !
2 3 épaules maintenant.
Bon, le vent se lève et rafraîchit. Un shoot de coca et c'est reparti...
Pas longtemps, tout le haut du dos est maintenant pris. Encore 5 bornes. Qui montent bien sûr. J'en peu plus. Et je ne sais pas si je vais trouver un lit dans le patelin !?
Ça y est. Oui, un hospedaje. Je m'écroule dans le fauteuil de la réception. Un lit. 4 mêmes, dans la pièce.
Et rien d'autre. Les toilettes au tréfonds de la cour. La literie ? Passons... La lumière ? Diffuse. Un robinet dans la cour où au matin il fera 2⁰.
La gentille dame m'apporte une infusion.
Une gorgée et je m'endors.
Mort muerto comme je ne l'ai jamais été depuis le 1er jour.
En fait j'ai dû marcher avec une demi-gastro. Si j'ajoute le poids du sac et le soleil qui cogne, en ne mangeant que 2 bananes sans quasiment ne rien boire, la messe était dite.
Bon on va pas pleurer, ça ira mieux demain
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RépondreSupprimerTu viens quand à Marans nous faire une conférence ?
RépondreSupprimerLe 25 septembre !
RépondreSupprimer(Cette page n'est pas terminée...)
On sera juste de retour du Canada. 😀
RépondreSupprimerJ'y passe le 24 juillet !
RépondreSupprimerAlors arrêtes toi
RépondreSupprimerQui sait ...
RépondreSupprimerGastro, ça gaze pas trop. Le vent se lève, il faut tenter de vivre.
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